Une utilisation plus rationnelle des ressources : l’allocation de ressources informatiques en Cloud est beaucoup plus granulaire que sur des serveurs dédiés et ces ressources peuvent être commandées et livrées instantanément, sans nécessiter de modifications de la plateforme, fluidifiant les progrès de vos équipes de développement. L’utilisation plus efficace des ressources matérielles permet donc de réduire l’empreinte environnementale et les coûts d’exploitation.
Les cycles de vie des systèmes d’exploitation et des piles logicielles peuvent être exploitées durant toute la durée de vie de vos projets puisqu’elles ne sont plus liées aux conditions de prise en charge du matériel, permettant d’évacuer le risque de développements imprévus liés aux changements du matériel.
Chaque instance étant automatiquement secourue, une panne matérielle n’entraîne plus d’interruption de service longue et coûteuse. La réplication des données permet de garantir l’absence de pertes due aux défauts du matériel et les démarches de mise en conformité règlementaire qui y sont liées.
Les technologies de virtualisation modernes permettent de sécuriser vos données et renforcer leur disponibilité sans que des connaissances particulières dans le domaine des infrastructures soient exigées de vos équipes techniques généralistes.
Nous concevons et contrôlons la totalité de nos infrastructures et nos engagements de disponibilité sont cohérents et s’appliquent à toute la chaîne de production, contrairement à un modèle où plusieurs acteurs interviennent et dont les engagements sont forcément tributaires du fournisseur proposant les garanties les moins élevées.
Une application tournant sur un serveur dédié sera légèrement (3 à 5 %) plus rapide que sur une instance Cloud, mais cela est contrebalancé par la capacité d’un environnement virtuel a recevoir de nouvelles ressources très simplement et rapidement. Si votre serveur dédié est à court de ressources, il n’y a rien d’autre à faire que l’éteindre et d’ajouter de la mémoire, ou bien de changer de serveur, opération longue et facteur de perturbations.
Exploiter des données personnelles, réguler l’accès internet de vos collaborateurs, contrôler l’exposition de vos ressources informatique aux risques techniques et juridiques, ces problématiques nécessitent de comprendre l’environnement règlementaire et les normes applicables. Nos consultants partenaires vous aideront à concevoir des stratégies en phase avec vos objectifs et votre budget.
Depuis le 25 mai 2018, le règlement n° 2016/679 connu sous l’acronyme RGPD (GDPR en Anglais) impose un nouveau cadre légal, plus extensif, au traitement des données personnelles des citoyens des pays membres de l’Union Européenne. Certains choix techniques auparavant mis en œuvre sont devenus inapplicables et nécessitent d’adapter les méthodes de travail. Le chiffrement des données, la déclaration auprès de la CNIL en cas de collecte des données de connexion des salariés si celles-ci sont considérées comme personnelles, l’utilisation (non conforme) de services de messagerie gratuite : de nombreux aspects doivent être compris par le chef d’entreprise pour assurer la conformité du système d’information.
Une entreprise a l’obligation légale de sécuriser l’accès internet de ses employés : un virus importé depuis Internet peut non seulement mettre en danger la production mais également exposer les données personnelles des salariés ou des clients. L’utilisation des appareils personnels des employés au sein du périmètre de l’entreprise peut parfois faire courir un risque supplémentaire pour d’autres.
L’abus de surf personnel est souvent un facteur de perte de productivité et appelle à la mise en œuvre de moyens adaptés pour restreindre les abus sans enfreindre les droits des salariés.
Empêcher l’accès aux contenus illégaux et prévenir la violation des droits de propriété intellectuelle d’autrui est une obligation de chaque employeur qui fournit un accès internet à ses collaborateurs. L’entreprise s’expose à un risque juridique en cas d’accès par l’un de ses salariés à des contenus illégaux ou en cas d’actes répréhensibles commis par ses salariés sur leur lieu de travail.
Ces risques, une fois compris et mesurés, peuvent être incorporés dans la stratégie de l’entreprise et contrôlés par les administrateurs et les sous-traitants.
En accordant un accès Internet à ses collaborateurs ou à ses clients, une entreprise est considérée comme fournisseur d’accès au même titre que les opérateurs de télécommunication, bien qu’avec des responsabilités atténuées. La loi impose aux fournisseurs d’accès de conserver les journaux de connexion de l’activité de chaque salarié afin d’identifier les auteurs d’actes potentiellement contraires à la loi.